"Déjà, j’ai eu un feeling immédiat avec cette école qui m’a plu dans sa manière d’appréhender les choses et la vie future des étudiants"
- Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis Benjamin Groult, étudiant en M2 dans le MSc Sustainable Finance & Fintech au sein de SKEMA BS. Après un parcours classique de classe préparatoire et d’école de commerce, j’ai découvert de nombreux secteurs et j’ai été immédiatement intéressé par la finance. Après deux stages dans de grandes banques françaises, j’ai décidé de changer totalement de registre puisque je ne souhaitais pas être un simple rouage dans un mécanisme beaucoup trop grand. Je voulais avoir un impact.
- Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à SKEMA ?
J’ai choisi d’étudier à SKEMA pour de nombreuses raisons. Déjà, j’ai eu un feeling immédiat avec cette école qui m’a plu dans sa manière d’appréhender les choses et la vie future des étudiants. Je pense avoir fait le bon choix au vu des 4/5 places gagnées par SKEMA dans les classements depuis que j’ai rejoint cette belle aventure. Un des avantages de SKEMA réside dans le nombre de campus de l’école. En effet, elle dispose de 7 campus dont 3 en France (Paris, Lille, Sophia Antipolis), un aux USA (Raleigh), un en Chine (Suzhou), un au Brésil (Belo Horizonte) et le nouveau-né sur le campus de Stellenbosch en Afrique du Sud. Cette mobilité permise par SKEMA est un vrai plus pour vivre des moments uniques en plus de toutes les Universités partenaires dont nous disposons.
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui souhaitent rejoindre le master Sustainable Finance & Fintech ?
Il n’y a pas de prérequis obligatoire à avoir pour ce nouveau master. En effet, ce qui m’a convaincu de rejoindre ce master, c’est la volonté de faire bouger les choses que je partageais enfin avec mon école à travers la création de ce master. Je peux cependant conseiller aux élèves intéressés par ce master d’aiguiser leur esprit critique, d’être extrêmement curieux concernant tout ce qui touche à l’écologie et aux Fintech (être curieux en général) et de ne pas craindre de faire le grand saut vers un secteur d’avenir où la possibilité d’avoir un impact prend vraiment tout son sens, sans jeter la pierre aux autres masters de finance plus généraux bien entendu ! J’ai simplement vu dans ce master l’opportunité d’avoir un impact et de se préparer au mieux pour les futurs métiers qui m’intéressent.
- Qu’est-ce qui vous a marqué lors de votre formation au sein de SKEMA ?
J’ai eu la chance de grandir avec SKEMA puisque cela fait maintenant 5 ans que je suis dans cette école. J’ai vu son évolution comme elle a vu la mienne et je suis fier de faire partie de cette aventure. J’ai pu découvrir différents métiers, différentes matières d’enseigner en fonction des différents campus ! Mon échange sur le campus de Stellenbosch restera notamment une expérience unique au vu de la culture complètement différente que l’on retrouve en Afrique du Sud. C’était une vraie leçon de vie et cela m’a beaucoup marqué.
- Selon vous, de nos jours, à quels grands changements / évolutions le secteur de la finance est-il confronté ?
Personne n’est sans savoir que la finance va connaître (ou connaît déjà) une grande transformation en intégrant beaucoup plus les critères ESG dans l’analyse et la prise de décision de l’investissement. Après mon stage chez LITA.co en tant que VC analyst, j’ai pris pleinement conscience des enjeux qui nous concernent. La finance est opaque pour grand nombre de citoyens et je pense que le rôle de la finance durable sera de démocratiser l’investissement afin de rendre la finance sociale et écologique et d’aider les entreprises vertueuses qui ont des besoins de financement à se développer. Orienter l’épargne des citoyens vers des projets en adéquation avec leurs valeurs et ainsi permettre aux particuliers d’être acteur du changement.
- Un dernier mot pour la fin ?
L’économie à impact positif n’est pas l’ennemie de la rentabilité. La véritable résilience, en finance, consisterait à rétablir le lien entre valeur et utilité : il faut dès aujourd’hui réorienter l’investissement vers sa destination originelle, celui d’une économie réelle dont la société a besoin.
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