




Découvrez l'interview exclusive d'Isabelle Curé, conseillère en gestion de patrimoine chez UFF

Isabelle Curé, Conseillère en gestion de patrimoine, UFF
- Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ? Qu’est-ce qui vous a amenée au métier de conseillère en gestion de patrimoine ?
Isabelle Curé, j’ai 56 ans et j’exerce le métier de conseillère en gestion de patrimoine à l’UFF depuis 1993. Je vis à Lyon et je conseille des clients principalement dans la région, mais aussi à Paris ou dans le Sud.
Après des études de médecine, puis un BTS de commerce international, j’ai trouvé ma vocation grâce à une amie d’enfance, qui m’a parlé de l’UFF. J’ai ainsi souhaité devenir un « médecin du patrimoine », en quelque sorte. L’analyse, le conseil et l’apport de véritables solutions de long terme auprès de mes clients, m’ont immédiatement séduite et l’UFF m’a offert le cadre idéal pour évoluer dans le métier de conseil en gestion de patrimoine.
J’y ai trouvé un environnement propice à mon accomplissement professionnel grâce à une formation reconnue par l’ensemble du marché, ce que ne pouvaient m’offrir les autres structures bancaires. J’ai également apprécié la gamme construite en architecture ouverte, les différentes possibilités d’investissement et l’autonomie d’activité pour le conseiller.
2. Pensez-vous que votre parcours a été un atout pour progresser dans la gestion de patrimoine ?
Au-delà du parcours académique, savoir s’adapter aux évolutions est un réel atout. Je pense qu’il faut être flexible, adaptable et ne pas avoir peur d’apprendre tout au long de sa carrière. J’ajouterais à cela qu’il faut rester constamment à l’écoute et anticiper. J’ai eu la chance d’avoir un manager qui m’a appris, durant 26 ans, à ne rien lâcher et être tenace quelle que soit la situation. Mon envie d’accompagner mes clients, de les rassurer, de les guider dans leurs choix, de répondre à leurs appréhensions, a également été déterminante dans ma carrière.
3. Pourriez-vous m'expliquer votre métier au quotidien ? Vos missions et challenges, votre environnement de travail ?
Avec un portefeuille de 200 clients, les jours se suivent et ne se ressemblent pas ! Mes journées peuvent être rythmées par une dizaine de rendez-vous consécutifs, par des centaines de kilomètres sur les routes ou par des heures à m’occuper de la situation d’un seul client. Notre activité est également régie par l’actualité financière, fiscale et réglementaire, déterminante pour nos clients.
En matière d’organisation et d’environnement de travail, nous pouvons gérer notre temps et notre activité de façon autonome. C’est l’un des principaux avantages de l’UFF. Il y a ainsi une dimension entrepreneuriale dans notre quotidien, tout en bénéficiant du soutien et du back-office d’une des plus grandes entreprises du marché.
4. Depuis combien de temps travaillez-vous à l’UFF ? Racontez-nous l’histoire de votre entreprise, quels sont ses atouts ?
L’UFF se distingue notamment par la qualité de sa formation qui permet aux conseillers de d’accompagner au mieux leurs clients dans leurs décisions d’investissement et leurs projets de vie. C’est une entreprise reconnue sur le marché qui se renouvelle constamment dans sa manière de procéder. J’y travaille depuis près de 27 ans et j’ai assisté à son évolution : de l’arrivée du téléphone portable à la mise en place de la digitalisation de nos activités.
5. Quels sont les offres et services proposés par l’UFF à ses clients ?
L’UFF, comme la majeure partie des acteurs du conseil en patrimoine, propose de nombreuses solutions d’investissements dans tous les secteurs financiers et immobiliers. Nous couvrons une grande partie des produits disponibles sur le marché de la gestion de patrimoine.
Le réel atout de l’UFF est son approche client. Notre analyse des différentes situations patrimoniales nous permet de proposer à chaque client la solution qui lui correspond le mieux. En tant que pionniers du secteur, nous savons nouer un lien de confiance avec nos clients, où la transparence est le maître-mot. Une fois cette relation et ces bases établies, nous pouvons construire des projets patrimoniaux ambitieux à long terme, de leur conception jusqu’à leur réalisation, ainsi qu’un suivi dans la durée, parfois sur plusieurs générations.
6. Comment avez-vous accompagné vos clients durant la crise sanitaire ?
J’ai plus que jamais pris conscience de mon rôle de conseillère. Nous étions aux côtés de nos clients dès le début du confinement, en les appelant régulièrement, en répondant à leurs questions, même d’ordre général et, surtout, en faisant preuve d’écoute et d’anticipation. 2020 aura été une année particulière sur tous les plans et les clients ont véritablement apprécié notre présence, si précieuse en cette période inédite.
Personnellement, je vois cette crise comme un catalyseur à la volatilité du marché, pouvant créer des opportunités à saisir. A nous de faire la différence en apportant le bon conseil au bon moment.
7. Si vous deviez recommander l’UFF à un candidat, quelles pourraient être les raisons selon vous de rejoindre l’UFF ?
Tout d’abord, je lui demanderais s’il a envie de vivre une belle aventure tournée vers l’humain, l’empathie, le plaisir de la réussite, avec des conditions réellement motivantes de salaire et d’évolution. Ce sont des valeurs chères à l’UFF.
Enfin, j’ajouterais que c’est un métier rempli d’émotions et d’intensité, qui s’appuie sur un réseau local et un réseau national qui font que le conseiller en gestion de patrimoine ne se retrouve jamais seul dans son activité.
José Fernandez, Directeur commercial au sein de l'UFF
8. En quoi les métiers de la gestion de patrimoine sont-ils des métiers d’avenir ?
Le métier de conseil en gestion de patrimoine a de beaux jours devant lui, car il s’inscrit dans les problématiques actuelles de notre société, comme les questions liées à la préparation de la retraite, l’allongement de l’espérance de vie, la dépendance, la recherche de placements rentables, la complexité des sujets réglementaires et fiscaux et, bien sûr, des sujets liés à la crise qui rendent les marchés plus volatils et difficiles à anticiper, mais qui peuvent aussi constituer une réelle source d’opportunités.
Tous ces facteurs font de la gestion de patrimoine un sujet de plus en plus complexe. Nous nous positionnons comme des interlocuteurs privilégiés qui répondent à l’ensemble de ces problématiques.
9. À quels changements pensez-vous que ce secteur sera confronté ?
Notre métier, qui couvre l’ensemble des aspects du conseil en épargne financière et en immobilier, fait face depuis plusieurs années à une inflation réglementaire. Notre pratique est très observée. C’est pour cette raison que notre statut de précurseur nous permet de proposer des formations toujours plus adaptées.
La philosophie de l’UFF est, à ce sujet, unique en France : nous offrons aux conseillers en gestion de patrimoine une assistance permanente, un statut et une protection sociale de salarié, tout en les invitant à développer leur activité de manière autonome comme de vrais entrepreneurs. Nous laissons une place considérable à l’organisation de leur travail et à la gestion de leur réseau : c’est un de nos atouts qui peut intéresser un certain nombre de profils, sur une grande pyramide d’âges.
J’ajouterais à cela que notre métier change avec les évolutions technologiques : nous nous sommes adaptés à la transformation digitale, nos clients attendent un conseil pertinent et réactif, et cette volonté est exacerbée par la crise sanitaire. L’accompagnement distanciel va s’inscrire dans la durée, au-delà de cet épisode de crise. L’approche digitale va se renforcer pour devenir un nouveau standard du marché, complémentaire aux rendez-vous présentiels.
10. Quelles sont les opportunités présentes dans les métiers de la gestion de patrimoine ?
En ce qui concerne l’UFF, notre entreprise dispense une formation hors-pair, reconnue par tous les acteurs du marché, qui permet de développer un savoir-faire dans les pratiques financières et immobilières, civiles et sociales, et plus largement sur l’ensemble des problématiques auxquelles un conseiller en gestion de patrimoine pourra faire face. Autre particularité de ce métier : chacun peut se spécialiser, en développant une clientèle de particuliers, de dirigeants d’entreprises ou de personnes morales…
Je terminerais sur le fait qu’à l’UFF, nos conseillers en gestion de patrimoine ont de réelles opportunités d’évolution : nouveaux postes, nouvelles missions au sein d’un univers de métiers très étendu (Managers, Ingénieurs patrimoniaux…).
11. Quels conseils donneriez-vous à un candidat souhaitant intégrer votre entreprise en tant que conseiller en gestion de patrimoine ?
Les collaborateurs doivent avoir un réel esprit entrepreneurial et le goût de la conquête client. Si l’UFF fournit un portefeuille de quelques clients au CGP au début de sa carrière, libre à lui de le faire fructifier pour que la structure de sa rémunération déploie tout son potentiel. Il doit avoir la prospection chevillée au corps pour générer de nouveaux capitaux et accompagner de nouveaux clients. Être CGP à l’UFF, c’est bénéficier d’une grande autonomie tout en profitant de la protection du statut de salarié.
L’UFF promeut des profils de collaborateurs multifacettes face aux traditionnels assureurs ou conseillers bancaires. Nous avons créé le métier de CGP il y a plus de 50 ans et avons formé plusieurs milliers de conseillers provenant de divers horizons. Certains d’entre eux exercent en indépendants aujourd’hui, après être passés par « l’école UFF ». Cependant, avec le temps, notre métier s’est complexifié, il est nécessaire d’avoir un bagage d’habilitation et de formation pour faire face à l’ensemble du contexte réglementaire de notre activité. C’est pour cette raison que nous recrutons aujourd’hui des collaborateurs ayant au minimum 3 ans d’expérience dans un environnement de services financiers.
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