

Amira Radhouani, Ingénieure développement logiciels JAVA JEE

1. Pouvez-vous présenter, en quelques mots, votre formation initiale ?
Après l’obtention de mon diplôme d’ingénieur en génie logiciel, j’ai intégré le groupe Sungard (éditeur de logiciel dans le domaine de la finance de marché), en tant que ingénieur R&D pendant 3 ans.
En octobre 2013, j’ai reçu une offre pour faire une thèse de doctorat dans le domaine de la sécurité informatique, dans le Laboratoire d’Informatique de Grenoble (LIG) et pour enseigner à l’ENSIMAG. Mon travail de recherche, consistait à proposer une solution qui permette de détecter les attaques internes dans un système d’information dès la phase de conception du système. Ce projet de thèse a pris fin en juillet 2017 et j’ai ensuite intégré FAO en septembre 2017.
Depuis, je suis en mission chez NH-Amundi Asset Management en tant qu’ingénieur d’Etudes et développement logiciels Java/J2EE. Chez Amundi, je retrouve vraiment l’aspect fonctionnel de la finance qui m’a un peu manqué durant ma thèse.
2. Quel est votre lien avec FAO ?
Je connaissais personnellement Boutheyna El Ghali, ingénieure d’affaires travaillant chez FAO, puisque l’on avait fait la même école d’ingénieurs. Il se trouve qu’elle m’a contacté à la fin de ma thèse. Elle m’a vanté les mérites de FAO et m’a beaucoup encouragé à venir travailler avec eux. Je me suis donc laissé convaincre !
Mon rôle principal, chez FAO, est de donner une bonne idée de la qualité de nos prestations chez leurs clients. Donc, en ce qui me concerne, Amundi.
L’avantage majeur de travailler pour FAO vient du fait que c’est une société à taille humaine où le contact avec le corps administratif, se fait facilement et de manière directe. En outre, les personnes y travaillant sont particulièrement à l’écoute de leurs différents collaborateurs.
3. Vous avez récemment travaillé sur un projet bien précis, portant sur la refonte et la fiabilisation de l’application de passage d’ordre. Pouvez-vous nous en dire plus ?
En relation directe avec l'architecte technique de l'application, nous avons essayé de mettre en place des solutions pour améliorer la performance et la résistance à la charge. Nous avons également travaillé sur la fiabilisation de certains modules critiques.
D’un point de vue technique, ce chantier fut très intéressant puisqu’il m’a permis d’expérimenter et de mettre en pratique de nouvelles technologies. Bien sûr, il y a eu certaines difficultés auxquelles je fus confrontée puisque je devais utiliser des technologies que je n’avais jamais expérimentées auparavant. Malgré tout, j’ai réussi à relever le défi !
4. Actuellement, si vous deviez définir les grands enjeux de votre carrière, quels seraient-ils ?
Mon travail présente un certain nombre d’avantages. J’apprécie les tâches que j’effectue et plus particulièrement le fait de coder et d’expérimenter de nouvelles technologies. C’est un travail assez varié, loin d’être répétitif et monotone. À côté de cela, il y a également des inconvénients. Il faut savoir que c’est un travail assez prenant et stressant, en raisons de problèmes techniques pouvant nécessiter une analyse et une intervention en urgence. Nous pouvons donc être amenés à travailler de nuit ainsi que pendant les jours fériés.
Toutefois, lorsque je regarde mon expérience, je peux être fière d’avoir su apporter ma rigueur et mon savoir-faire chez Amundi. Je pense que j’ai su donner une bonne image de FAO, quant à la qualité et compétences de nos ressources.
Aujourd’hui, je souhaite continuer à faire évoluer mes compétences, aussi bien d’un point de vue technique que fonctionnel, de manière à pouvoir être présente sur le marché pour des appels d’offre de Tech Lead ou en tant qu’architecte de Système d’Information.
Antoine Le Fur
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