BREXIT : CRISE OR NOT CRISE ?
Alireza Gorzin, président de BFG Capital, le répète souvent :
« La crise n’existe pas. Il n’y a que des moyens inadaptés ou mal adaptés. Le marché, qui est en perpétuel mouvement, ne correspond pas toujours aux moyens mis à sa disposition. Si l’on s’adapte à son marché, il y a alors des opportunités.».
Retour sur une situation économique pour laquelle les conséquences indirectes semblent inachevées: le Brexit.
Le Brexit n’est pas une idée nouvelle. En 2013, pour répondre aux demandes du peuple, David Cameron a évoqué l’idée d’un référendum pour sortir le Royaume-Uni de l’Union Européenne. Trois ans plus tard, le 23 juin 2016, les votes sont clos : le Brexit aura bien lieu.
Jusqu’à présent très désireux de quitter l’Union Européenne, les britanniques ont tout de même été plus de quatre millions à avoir signé une pétition en faveur d’un deuxième référendum ! Trop tard, car « Brexit is Brexit », comme le répète sans cesse Theresa May, chef du gouvernement britannique. Plus déterminée que jamais, la nouvelle « dame de fer » s’est engagée à ce que le Royaume-Uni quitte très rapidement l’Union Européenne, même si, jusqu’à ce jour, elle refuse encore de dévoiler son calendrier.
Ne montrant aucune répercussion négative dans un premier temps, le Royaume-Uni a fini par montrer quelques signes de ralentissement assez distincts : chute du nombre d’offres d’emplois par la City, baisse de la livre, chute du secteur immobilier… et même une multiplication des demandes de naturalisation en Irlande et en Allemagne. Les britanniques sont aujourd’hui plus qu’inquiets et en attente de l’effet post Brexit, preuve d’une crise latente…
L’euroscepticisme britannique s’est rapidement transformé en panique générale, contaminant ainsi chaque pays membre de l’U.E. Dans le cadre du Brexit, la crise découle de la peur, du sentiment d’impuissance, d’une méconnaissance générale et surtout de la précipitation. Ces craintes, émanant de différents facteurs, sont une preuve que les moyens étaient inadaptés au marché…
Dans notre secteur patrimonial, voici le constat : Claude Serviere, client chez BFG Capital, a vu ses rendements se multiplier durant même les différentes crises économiques en 2010-2011 ! « Mon gestionnaire de patrimoine, BFG Capital, m’a permis de traverser tous les écueils de cette crise sans mettre en péril mon portefeuille » a-t-il déclaré lors d’une interview pour le magazine économique Challenges. Le suivi personnalisé que notre cabinet lui a proposé sur la durée, lui a permis de constater ses meilleures performances durant «ladite» crise. L’accompagnement de chacun et l’anticipation sont, en effet, deux critères indispensables pour ne pas devoir subir la crise.
Le Brexit ici n’est qu’un exemple de situation parmi d’autres… Comme dans la théorie des « Décisions absurdes » de Christian Morel, le Brexit peut-être comparé à un naufrage dont tous les indicateurs nous montraient que la sortie du Royaume-Uni de l’U.E. aurait bien lieu, mais que tous les acteurs majeurs les ont malheureusement ignorés…
En tout état de cause, notre cabinet en gestion de patrimoine, BFG Capital, est là pour vous apporter des solutions, et des moyens sécurisants. Nous sommes convaincus que chaque crise est surmontable, dès lors que l’accompagnement est complet.
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