Interview de Gregory Detoeuf, conseiller relation client pour les métiers du dommage au sein de Swiss Life
- Présentez-vous-en quelques lignes
Je m’appelle Grégory, je suis conseiller relation client pour Swiss Life en sinistres automobile. Après l’obtention du BAC économique et social, j’ai effectué un BTS assurance ainsi qu’une licence assurance en alternance. Ces années d’alternance ont été faites chez Swiss Life en sinistres automobile où je suis actuellement embauché.
-
Pourquoi vous êtes-vous tourné vers le métier de conseiller relation client sinistres auto ?
J’ai d’abord effectué un premier stage en classe de seconde dans le service santé de Swiss Life qui ne m’a pas intéressé. J’ai donc décidé de me tourner vers le métier d’assureur mais en agence. C’est à cette occasion que j’ai fait un stage d’une semaine avec un intermédiaire d’assurance où j’ai pu découvrir le métier dans sa globalité, c’est-à-dire la partie santé et la partie dommage.
A la fin de cette période de stage, la partie dommage dans l’assurance était mon choix préféré. Je me suis donc renseigné sur les études à faire pour exercer ce métier. Après plusieurs recherches, j’ai vu que l’on pouvait faire de l’alternance. Mon choix s’est porté sur le BTS assurance en alternance.
-
Comment se déroule une journée type au sein de Swiss Life ?
Au sein de mon service, le rôle de conseiller consiste à gérer un sinistre dès l’ouverture (par téléphone ou par mail) et ce jusqu’à l’indemnisation et la clôture de celui-ci. J’assure le suivi des dossiers sinistres. Le service dans lequel je travaille est un service clients : les conseillers accueillent les assurés par téléphone afin de les renseigner sur les garanties acquises, les dossiers en cours ou pour l’ouverture d’un dossier.
-
Quelles compétences avez-vous acquises au long de votre carrière ?
L’alternance m’a permis de gérer les études d’un côté et le travail de l’autre. La maturité est la qualité que j’ai le plus développée.
En étant une partie de la journée au téléphone, j’ai pu acquérir de la culture client, de la confiance en moi ainsi que de l’adaptabilité pour gérer les différentes situations exposées par les clients.
-
Comment se passe l’environnement interne au sein de l’entreprise (esprit d’équipe, humain) ?
Le service dans lequel je travaille est composé de 16 personnes. De ce fait, l’esprit d’équipe et l’entraide sont deux facteurs primordiaux.
À la suite du confinement, le télétravail a été développé et les jours de présence sur site sont de 2 par semaine. Cela n’empêche pas de conserver des liens avec ses collègues puisque nous échangeons au quotidien par Teams ou lors de Visio.
-
Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui souhaiteraient se lancer dans ce secteur ?
Le principal conseil que je donnerai à une personne qui souhaite se lancer dans le monde de l’assurance est d’avoir un bon relationnel avec les clients.
Il y a tellement de postes différents dans le métier d’assureur qu’avec de la motivation et de l’envie il est tout à fait possible de s’épanouir et trouver sa voie.
-
Quelles sont les perspectives d’évolution au sein de Swiss Life (équipe, immersion) ?
Au sein de Swiss Life, il y a possibilité de faire des immersions dans différents services (vie, santé, dommages) afin d’observer et d’élargir ses compétences. Il y a une possibilité de projection sur l’avenir avec un changement de service pour les collaborateurs.
Au sein même de mon service, il y a des perspectives d’évolution comme le fait de passer référent technique du service ou encore manager.
Par ailleurs, le service reprend des tâches qu’il ne faisait pas auparavant. Une partie des sinistres corporels sont maintenant gérés par notre service. Les rentes et les fiches de recours compagnie adverses sont aussi gérées par le sinistre automobile depuis peu.
- Vues1336